Encore une très belle journée de vécue lors de cette rencontre HF/APAC dans un petit coin de Paris....
Souvenirs en images :
vendredi 21 février 2014
vendredi 8 novembre 2013
Jean Claude copie sur Anne...
Clarence fait les chèques....
Et Mary Myriam sourit....
Clarence fait les chèques....
Et Mary Myriam sourit....
Telle est l'atmosphère pour cette première réunion de collège après l'AG d'Avignon !
Réunion Collège le Jeudi 07 Novembre 2013 à Paris
mardi 5 novembre 2013
Pourquoi j'adhère à L'APAC ?
Lors de notre assemblée générale à Avignon, nous avons commencé par une question posée à tous "Pourquoi j'adhère à L'Apac ?"Les réponses étaient lu de façon anonyme par tous, chacun prenant un papier dans le chapeau et le lisant à voix haute.
Voici les réponses ! Bonne lecture !
POURQUOI J’ADHERE A L’APAC ?
Réponses politiques, métaphoriques, libertines, poétiques et
philosophiques acceptées.
- Pour rencontrer d’autres conteurs, trouver un espace de réflexion sur mon métier et échanger des expériences. Ne pas être isolée. Pour joindre ma voix à celle des autres conteurs et qu’ensemble nous défendions notre beau métier.
- Pour prendre la parole sans attendre qu’on me la donne en « haut lieu » donc j’arrête de râler et je fais.
- Pour défendre une idée du conte et pour entrer dans un réseau
- Parce que conter c’est un métier à tisser ! et à métisser et à croiser les idées et les amitiés
- Rencontrer d’autres conteurs et réfléchir à ma pratique avec eux
- Car on voit toujours le soleil devant sa porte, car militante dans l’âme toujours hors parti et structure collégiale. Car aimant le collectif et les bourdons et les abeilles. Car utopiste et pense que l’on peut changer le monde… à plusieurs !
- Penser ensemble à notre métier, ne pas le laisser aux autres
- J’adhère à l’Apac pour contribuer pleinement à cet élan de vie dans ce monde culturel figé
- Parce que j’ai 100 balles de trop sur mon budget annuel. Parce qu’en général, j’ai un trou dans mon emploi du temps la 2ème semaine de septembre. Parce que je déteste rencontrer les autres j’en souffre beaucoup et j’adore souffrir !
- Pour partager. Etre solidaire. Résonner. Apprendre. Créer l’avenir
- Pour réfléchir avec les autres et d’où je viens, où je suis et où je vais. Pour me battre contre tout ce qui nous brime.
- Parce que de la conversation entre allumés jaillit la lumière.
- Parce que la voix des artistes doit se faire entendre. Parce qu’un peu de solidarité ne nuit pas.
- L’amour
c’est mieux à deux ou à plusieurs, que tout seul. J’ai besoin d’être
butiné par d’autres abeilles.
- Parce que je crois qu’ensemble on peut être entendu tandis que seul c’est un cri dans le désert.
- Avec prétention pour essayer de changer la face du monde. Avec modestie pour un projet artistico-humaniste
- Pour les échanges artistiques (et autres) entre conteurs. Pour faire connaître davantage notre métier auprès du grand public. Un contre poids aux institutions du conte déjà existantes et qui ont tendance à être seules visibles. Pour constituer une chorégraphie développer notre solidarité.
- A plusieurs nous pouvons nous nourrir de l’expérience et de la réflexion des autres. Partager, débattre, construire.
- Pour enfin rire et réfléchir ensemble
- Etre moins seule dans ce métier et partager mais pas pour subir le collectif.
- Parce que l’union fait la force et que partager nos tourments nos joies et nos espoirs met en route pour porter les choses ensemble, rêver plus haut que tout seul, apprendre des autres ce qui me manque et apporter humblement ma petite pierre à l’édifice. Et surtout par que tout cela se passe fraternellement et conviviale ment.
- Parce que j’y trouve un engagement sincère, parce que l’union fait la force, parce que ça m’ouvre des perspectives et réflexions sur mon art et la façon dont j’exerce mon activité. Parce que j’aime
- Pour rencontrer les autres conteurs. Pour collaborer à la reconnaissance de notre discipline. Pour travailler et échanger ensemble sur des questions artistiques.
- pour avoir le plaisir et l’intelligence de se retrouver tous, de partager sur nos métiers, nos diversités et points communs de pratiques et géographiques. Pour défendre la spécificité du conte dans le monde du spectacle vivant professionnel et la rendre visible et intelligible pour les autres.
- Pour l’élan et la joie que donne le collectif. Pour la réflexion commune sur nos pratiques. Pour que la parole soit donnée à ceux qui l’ont (contre la « toute puissance des décideurs »). Pour inventer des actions qui ont du sens pour nous et pour les publics.
- Et pourquoi pas ? ça dépend des fois. Pour mieux comprendre ce que c’est cette boite là ? L’APAC, l’un des bons côtés du métier. Une aventure collective. Pour penser le métier au-delà de moi. C’est vrai ça ? Pourtant d’habitude je n’ai pas le sens de la famille.
- Pour fédérer, collaborer, échanger, partager, être ensemble, apprendre à s’écouter, définir les courants du conte aujourd’hui, faire reconnaître ma profession, rire, boire, manger, imaginer un monde de sens, d’harmonie, se nourrir de paroles.
- Parce que c’est sympa, vrai et que j’attendais ça depuis plus de 30 ans.
- Pour nous garder contant ! Contant et veillant ! pour vous connaître et reconnaître. Rêver ensemble d’une place pour le conte dans nos sociétés.
- Parce que j’ai trop bu, parce que le soleil me rase et que la rosée sur le gazon du parc des libertés me donne des envies de boire à même les fleurs et que le collectif des conteurs professionnels peut comprendre ça, lui qui énumère le monde comme les pétales de la marguerite. 1 peu, beaucoup, etc.
- A des problèmes individuels, il y a toujours des réponses collectives.
- Je ne sais pas encore ce que je fais là !
- Marre d’être des centaines à être seuls, et besoin de comprendre à quoi sert notre métier.
- Pour que le conte puisse prendre sa place véritable dans les arts vivants d’aujourd’hui.
- Parce que l’union fait la force. Pour résister face aux poêles de fer. Parce que j’aime la bise pendant une heure le matin.
- Parce que je ne suis pas un concurrent. L’APAC pour expérimenter d’autres façons d’agir ensemble. L’APAC comme un edelweiss dans la neige ?
- Pour partager une amitié professionnelle. Pour ne pas tourner en rond toute seule. Pour danser sur les routes de la réflexion, à quatre, à dix, à plus qu’entre soi ! Pour rencontrer, autrement qu’en spectatrice, mes collègues et philosopher, échanger, jouter, exposer, débattre, accepter, découvrir les mots de ma discipline.
- L’Apac est un caillou dans une chaussure. Deviendra t’elle une plage de sable vers la mer ?
- That is the question ! Politiquement, est ce correct ? Le reste ? la vie est une question de partage alors j’adhère à l’APAC
- Très intéressant de rencontrer des collègues hors spectacles (discussions de fond sur notre métier, échanges, etc) Il me paraît important qu’un organisme regroupe les conteurs (gens du même métier) pour lui donner un surplus d’existence et de visibilité.
- Pour être ensemble
- Par goût pour le border, chantier, souk, collectif et pour trouver des gens avec qui parler métier.
- Pour le plaisir de rencontrer d’autres conteurs conteuses, d’échanger, de débattre, de construire ensemble une carte de l’identité de notre métier.
- Pour échanger avec des amis professionnels, pour me tenir au courant de la politique du conte, pour soutenir la vie de notre métier.
- Pour ne pas être toute seule ! A deux ou plus on réfléchit toujours mieux et les idées ont plus de poids. Prendre des forces et en donner.
- Pour faire vivre notre métier, défendre l’espace et le droit de la parole tout en se donnant les bons moyens pour l’exercer.
- C’est pour dire le silence… dire, des mensonges qui disent la vérité.. faire oublier les peines.
- Pour voir les copines, les copains, pour voir l’état du monde.
- Je pensais que c’était une association pour contempler la beauté des papillons à la campagne. Je ne suis pas déçu…
- Pour faire entendre le conte afin de bouger le Monde.
vendredi 27 septembre 2013
Inscription à :
Articles (Atom)