- Les écoles de théâtre, de danse, de cirque accompagnent les jeunes pousses. Mais dans le conte nous n’avons pas «d’écoles» encore moins d’écoles «qualifiantes»
La création d’une «école nationale» concoure toujours à la reconnaissance d’un métier.
- Quid des «plates formes» et des «journées professionnelles» ?
Est-ce qu’un conteur est un artiste qui fait son boulot d’artiste et qui a besoin d’un pro de la diffusion ? Ou bien est-ce qu’on se pose comme un artisan qui fait tout ?
Nous sommes dans une profession qui appelle à différents corps de métiers : artiste, diffusion, production… et être tourneur pour soi est plus difficile que de l’être pour les autres.
- Et sur la pertinence des lieux en rapport aux formes que l’on propose ? La question de la diffusion est très en rapport avec les lieux et les différents réseaux. On est plus «passeur de répertoire» dans des bibliothèques.
Témoignage : «Ou t’es conteur de bibliothèque ou t’es conteur de plateau !
- Changer de réseau alors ? Le métier de conteur permet d’être des 2 bords...
- Questionner la diffusion c’est questionner pourquoi je fais ce métier. On ne le fait pas uniquement pour son plaisir personnel comme les amateurs, mais parce qu’on pense aussi que sa parole a un sens collectif.
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